
Lakota (graines)
Cucurbita maxima
Cette variété ancienne offre des fruits de 2 à 3 kg dont l’épiderme est soit vert et orange soit totalement orange. La chair est fine, orange et à la saveur de noisette.
Cette variété ancienne fut sélectionnée aux États-Unis par le semencier américain Burpee afin d’offrir une variété similaire à celle cultivée par le peuple des Sioux Lakota.
en godet, en pleine terre
Semer en godets, à une température comprise entre 18 et 20 °C, 2 à 3 semaines avant la mise en place. Repiquer, avec la motte, en pleine terre, après les dernières gelées, à une distance de 2 m minimum en tous sens. Pour un semis directement en pleine terre, semer après les dernières gelées une fois le sol bien réchauffé. Dans les deux cas, préparer deux semaines à l'avance des trous remplis de compost ou de matière organique afin d'y accueillir vos plants ou vos graines.
Février, Mars, Avril, Mai
Mars, Avril, Mai, Juin
Juillet, Août, Septembre, Octobre, Novembre
en pleine terre
ensoleillée
fort
humifère
riche, lourd, meuble
Cucurbita maxima
mi-saison
De 2000 à 3000 g
12 graines
ronde
fine
Orange
comestible
De 150 à 400 cm
De 10 à 15 cm
coureuse
Le mot lakhóta signifie à l'origine « sentiment d'affection », « amitié », « unité », « allié », « amical ». Le mot sioux signifie « petit serpent » ou « ennemi », les Lakotas ne s'appelaient donc pas eux-mêmes par ce terme péjoratif2.
Selon James Riley Walker, qui passa dix-huit ans de 1886 à 1924 parmi les Lakota-Oglala dans la réserve de Pine Ridge (Dakota du Sud), dans son livre Lakota Society, édité par l'université du Nebraska, Dakota provient de « da » (« considéré comme »), « Ya » en lakota, et « Koda » (« ami »), « Kola » en Lakota. Les Dakota parlent trois langues semblables présentant peu de différences. La seule différence consiste dans la prononciation : le D de Dakota (en Santee) le N de Nakota (en yankton) et le L de Lakota en Teton. Ces trois peuples n'en font qu'un.
Le nom de « Sioux » viendrait d'un mot français tiré de l'algonquien « Nadowessi » (« ennemi haï » ; hated foe). Le même mot en ojibwé signifie « serpent à sonnette » ou « vipère » (an adder). Le pluriel est « Nadowessiwak » ou « Nadawessyak », que les trappeurs français raccourcirent en « Sioux ».
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